Jadis (en 2003), Bell Canada lança la campagne «Bon Vieux Temps», une parodie des téléromans historiques où les personnages utilisent les technologies d’aujourd’hui dans leurs vies quotidiennes. Le «vintage» avant que le «vintage» soit cool, finalement.
Ces pièces de marketing direct furent développées dans l’esprit des réclames de l’époque: anti-épurées, criardes et pleines de détails rigolos.
Un faux journal d’époque annonçant d’une manière sensationaliste une panoplie de conséquences dûes au fait que les villageois économisent trop avec le Forfait de Bell. Ce journal était envoyé par la poste mais aussi distribué par des escouades de livreurs de journaux.
Cette pièce avait 2 vocations: promouvoir un nouveau partenariat du Forfait de Bell avec Aéroplan et inciter les gens à s’abonner pour courir la chance de gagner des voyages en famille autour du monde. Et dans la catégorie «Innovation»: ce fût la première fois que Postes Canada distribua une enveloppe avec une forme irrégulière par la poste régulière.










